Une vie en rouge et bleu |
Compl. Titre | roman |
Auteurs | Anglade, Jean (Auteur) |
Edition | Calmann-Lévy : [Paris] , impr. 2010 |
Collection | France de toujours et d'aujourd'hui |
Collation | 1 vol. (308 p.) |
Illustration | couv. ill. en coul. |
Format | 23 cm |
ISBN | 978-2-7021-4101-4 |
Prix | 20 EUR |
Langue d'édition | français |
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Contient :
Le secret du dernier des poilus Régis Féraz (on dit Féra, non point Féraz car Régis est d'origine savoyarde et le z ne se prononce pas), est le dernier de nos poilus, le der des ders. Ancien éclusier a Clos du May sur le Canal latéral a la Loire, il n'est Bourbonnais, certains disent Bourbonnichon, que d’adoption. Qu’il le veuille ou non Rgis Fraz est devenu un hros. On voudrait d’ailleurs l’honorer, recueillir de sa bouche un ultime tmoignage. Mais le centenaire passe pour un peu bredin , pour un peu fou du cerveau, car depuis des annes il ne veut plus entendre parler de la Grande Guerre. Seule Lone sait de quel souvenir indicible son grand-pere veut se garder. Au journaliste venu pour le rencontrer elle est prête a le révéler. Mais pour ce faire, il faut commencer par le commencement. Sans jamais se départir de cette ironie tendre qui fait notre délice, Jean Anglade nous entraéne alors sur les pas d'un enfant de la Patrie, ballotté par l'histoire et emporté dans les cruautés d'un siecle meurtri par la folie des hommes. - Vous avez raison. Tout le monde a un grain de folie. Parfois deux. Parfois trois. Jean Anglade, conteur de toutes formes d'humanité et d'inhumanité, de toutes formes d'héroïsme et de folie, a un sens de l'épisode, du rythme, de la psychologie des relations proprement éblouissant.
Le secret du dernier des poilus Régis Féraz (on dit Féra, non point Féraz car Régis est d'origine savoyarde et le z ne se prononce pas), est le dernier de nos poilus, le der des ders. Ancien éclusier a Clos du May sur le Canal latéral a la Loire, il n'est Bourbonnais, certains disent Bourbonnichon, que d’adoption. Qu’il le veuille ou non Rgis Fraz est devenu un hros. On voudrait d’ailleurs l’honorer, recueillir de sa bouche un ultime tmoignage. Mais le centenaire passe pour un peu bredin , pour un peu fou du cerveau, car depuis des annes il ne veut plus entendre parler de la Grande Guerre. Seule Lone sait de quel souvenir indicible son grand-pere veut se garder. Au journaliste venu pour le rencontrer elle est prête a le révéler. Mais pour ce faire, il faut commencer par le commencement. Sans jamais se départir de cette ironie tendre qui fait notre délice, Jean Anglade nous entraéne alors sur les pas d'un enfant de la Patrie, ballotté par l'histoire et emporté dans les cruautés d'un siecle meurtri par la folie des hommes. - Vous avez raison. Tout le monde a un grain de folie. Parfois deux. Parfois trois. Jean Anglade, conteur de toutes formes d'humanité et d'inhumanité, de toutes formes d'héroïsme et de folie, a un sens de l'épisode, du rythme, de la psychologie des relations proprement éblouissant.
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